Dans un monde en rapide évolution, où les défis numériques et médiatiques se multiplient, notre collectif s'engage à protéger et éduquer nos enfants contre les influences néfastes omniprésentes. Nous sommes une communauté de "soldats numériques" dévoués, travaillant ensemble pour guider les enfants vers un avenir où ils peuvent s'épanouir avec intégrité, créativité et une forte capacité de discernement.

Nous abordons des problèmes tels que la passivité intellectuelle, l'exposition à la médiocrité, l'influence négative des médias, la perversion déstabilisante des stars de la chanson, les contenus perturbants et subliminaux contenus dans les dessins animés pour enfants, les livres idéologiques propagandistes de l'idéologie des élites, les risques des réseaux sociaux, l'addiction aux jeux vidéo, la violence dans les films hollywoodiens et l'éloignement des vraies valeurs, de la nature et de la littérature pour ne citer que cela. Nous dénonçons également les dérives inimaginables mais pourtant bien réelles, telles que l'introduction prématurée de la sexualité à l'école ou l'intervention de personnes extérieures telles que des Drag Queens, qui peuvent perturber l'équilibre des plus jeunes à un moment où leur compréhension de la sexualité n'est pas encore mature.

À travers nos efforts, nous cherchons à éveiller les enfants à leur potentiel maximal, en les équipant des outils nécessaires pour naviguer dans le monde moderne avec confiance et compétence.

Consultez notre tableau détaillé pour une vue d'ensemble des risques actuels auxquels les enfants sont confrontés, ainsi que les solutions et actions que nous promouvons pour un développement sain et équilibré. Rejoignez-nous dans cette noble quête pour façonner un avenir radieux pour "Les Enfants du Nouveau Monde"

Si vous souhaitez nous rejoindre dans l'aventure, merci de compléter le formulaire ci-dessous en cliquant sur le bandeau Bleu.

Dans notre ère moderne, où l'influence subtile mais puissante des élites s'exerce à travers divers médias comme le cinéma, les stars de la chanson, les dessins animés, les jeux vidéo, Netflix et Hollywood, la nécessité de planter des graines positives dans l'esprit de nos enfants n'a jamais été aussi cruciale. Ces outils sont souvent utilisés pour semer des "graines négatives", entraînant passivité intellectuelle, conformisme, et une acceptation sans critique des valeurs superficielles et destructrices. Ces influences négatives limitent l'imagination et la créativité des enfants, les rendant vulnérables à l'endoctrinement et à la médiocrité.

À l'opposé, les "graines positives" que nous choisissons de planter peuvent grandement influencer le parcours de vie d'un enfant. En les exposant à des contenus de qualité, tels que de véritables œuvres littéraires, des programmes éducatifs enrichissants et des valeurs fortes, nous les aidons à développer une pensée critique, une créativité florissante et une conscience aiguë de leur environnement.

Les enfants armés de graines positives deviennent des créateurs, des penseurs indépendants et des individus résilients, capables de remettre en question les croyances imposées et de résister aux manipulations subtiles des médias. Ils sont alors prêts à forger un avenir meilleur, fondé sur la bienveillance, la cohérence et la créativité.

Notre rôle, en tant que "soldats numériques", est de veiller activement à l'éducation et à la protection de nos enfants contre ces manipulations. Nous devons promouvoir des contenus éducatifs, soutenir les créateurs qui véhiculent des valeurs positives, et combattre la médiocrité dans les médias destinés aux enfants. C'est un engagement collectif et puissant pour élever des enfants conscients et bien préparés pour affronter les défis de demain.

POUR MIEUX COMPRENDRE l'IMPORTANCE DE CES GRAINES, vous devez absolument visionner les 2 passages suivants

L'éducation sexuelle précoce dans les écoles pose un risque grave pour le développement psychologique des enfants. Très jeune les enfants sont confrontés à des sujets complexes tels que la sodomie, le cunnilingus ou le changement de sexe, les exposant ainsi à un traumatisme potentiel. Cette approche, en contradiction avec l'objectif d'une éducation sexuelle saine, augmente la vulnérabilité des enfants face aux prédateurs sexuels et stimule une curiosité dangereuse, pouvant mener à des expérimentations précoces. "Ils pourraient chercher des informations perturbantes sur des sites pornographiques, accentuant leur malaise et leurs complexes.
Pire encore, de nombreux enfants confus cherchent à mieux comprendre le phénomène des Drag Queens est transgenre. Sur TikTok, le hashtag #transgenre a atteint en 2023 des sommets avec plus de 607 millions de requêtes, contre seulement 41 millions pour #fairelamour. La propagande des élites LGBTQ+ et DRAG QUEEN est si forte que les enfants s'intéressent à un sujet auquel ils ne devraient normalement JAMAIS penser !

Comment planter une petite graine démoniaque dans le cerveau d'un Enfant ? DRAG QUEEN + ÉDUCATION SEXUELLE + MICKEY et ses copains !

Nous aimons leur donner des graines positives permettant l'auto-construction, avec des graines d'amour de soi, de bienveillance, de cohérence et de créativité.

Ils leur donnent des graines négatives entraînant l'auto-destruction de l'enfant : avec des graines de destruction des identités et de perversités.

En contraste, la lumière nourrit l'épanouissement et la joie. Ici, l'esprit s'ouvre, fortifié par l'amour et la créativité, dans un jardin où chaque fleur est un rêve réalisé.

C'est une terre inhospitalière où les jeunes pousses luttent contre le vent de l'adversité, menacées par une existence de sombres réflexions et de chemins obstrués.

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Barbie sort sa Poupée TRANSGENRE

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Depuis trois décennies, Disney était déjà profondément impliqué dans sa volonté d'influencer et de propager son idéologie, que ce soit par des images subliminales ou d'autres techniques plus malveillantes. La compagnie avait l'habitude de lancer de jeunes étoiles, douces et à l'allure de princesses élégantes, pour les transformer en symboles de perversion une fois adultes. Cependant, ces pratiques étaient subtiles, car étalées sur le long terme. Mais depuis 2017, Disney est passé de la subtilité à l'extrême, prenant un virage sec comme s'il y avait une volonté d'accélérer le calendrier.

Symbole universel d’enchantement pour enfants, Disney a récemment secoué les fondements de l’innocence enfantine. Une vidéo récente de Disneyland a révélé une scène choquante : un homme à moustache, vêtu d'une robe de princesse, accueillant de jeunes enfants. Cette image n'est pas un simple écart ; elle marque un tournant radical dans la direction prise par Disney, influencé par des géants comme BlackRock.

Sous la direction de Karey Burke, Disney a clairement exprimé son intention d'inclure au moins 50% de personnages LGBTQ dans ses futures productions, y compris dans des rôles principaux. Cette politique audacieuse s'inscrit dans une tendance plus large observée à travers l'industrie du divertissement, notamment chez des géants comme Netflix, Amazon et Hollywood. Là, les normes ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et DEI (Diversité, Équité, Inclusion) sont mises en avant, notamment par des entreprises influentes comme BlackRock.

Les normes ESG visent à assurer que les entreprises opèrent de manière éthique et durable, tenant compte de l'environnement, de la responsabilité sociale et de la gouvernance. DEI, d'autre part, se concentre sur la promotion de la diversité, de l'équité et de l'inclusion au sein des organisations. Bien que ces objectifs semblent louables en surface, leur mise en œuvre dans l'industrie du divertissement suscite des inquiétudes considérables.

L'impact de ces normes sur le contenu du divertissement est profond. Des quotas sont imposés, souvent au détriment de l'histoire et de la qualité artistique des films. Cela conduit à une homogénéisation de la production culturelle où des idéologies spécifiques, comme les perspectives LGBTQ, sont non seulement incluses mais prédominantes. L'industrie du divertissement, autrefois un terrain de jeu créatif diversifié, est de plus en plus canalisée vers une uniformité idéologique.

Le phénomène observé dans l'industrie du divertissement n'est qu'une partie d'un plan plus vaste orchestré par les mondialistes contrôlant des entités comme BlackRock. Ils visent à inculquer leur idéologie par la force non seulement à travers les médias, mais aussi par le système éducatif dans presque tous les pays du monde. Les enfants et les adolescents, absorbant ces idéologies, sont confrontés à des questions complexes et perturbantes pour lesquelles ils n'ont ni la maturité ni la compréhension nécessaire.

Les mondialistes, maîtres de leur stratégie, comprennent parfaitement les mécanismes de la psyché humaine, et tout particulièrement celle des enfants. Leur connaissance est en parfaite opposition avec celle des 99,999% de parents qui, dépassés par leurs problèmes personnels, sont complètement déconnectés des dangers qui menacent leurs enfants. Même les parents les plus vigilants ne perçoivent que la pointe de l'iceberg, alors que le mal va bien au-delà, dans des profondeurs que je développerai plus tard.

La situation est dramatique pour les enfants, car en ébranlant leurs fondations, on risque de les précipiter dans une chute inévitable. On peut comparer cela à un immeuble : si les fondations sont solides, on peut bâtir un gratte-ciel de 300 étages, mais avec de mauvaises fondations, l'édifice s'effondrera tôt ou tard.

Ce que les enfants entendent à l'école sur des sujets comme l'éducation sexuelle et la théorie du genre les pousse à chercher à comprendre ces questions complexes, les entraînant dans le piège des réseaux sociaux, en particulier TikTok et ses algorithmes puissants. Si un enfant tape "Transgenre" sur sa tablette, l'algorithme ne lui proposera que ce type de contenu, lui faisant croire à une réalité merveilleuse, mais en fait l'entraînant dans une réalité alternative qui le coupera de ses parents. Si l'enfant est introverti, il grandira avec ces croyances et souffrira en silence. Si l'enfant s'affirme et exige de changer de sexe, la loi, complice, lui donnera raison, plongeant les parents dans un cauchemar irréversible. Dans les 2 cas çà sera l'enfer pour cette famille.

Dans les deux cas, cela conduira inévitablement à une souffrance profonde pour la famille. Je l'ai déjà dit à maintes reprises : l'objectif ultime est l'établissement d'un Nouvel Ordre mondial. Pour y parvenir, il faut démanteler ce qui a été construit sur des siècles : la destruction des cultures se voit dans l'immigration massive ; l'effacement des identités, à travers la théorie du genre et la promotion LGBTQ ; la dissolution des valeurs, avec une éducation sexuelle menant à une exposition précoce à la pornographie, et des réseaux sociaux glorifiant la superficialité ; et enfin, la fragmentation de la famille, divisée inévitablement par les questions d'identité de genre.

Petite parenthèse importante pour mieux comprendre le tableau d'ensemble, je n'ai rien contre elle, elle n'est qu'une marionnette des mondialistes, mais le choix d'Aya Nakamura pour représenter la France aux JO ne relève pas du hasard. Ce choix s'insère dans le cadre d'une vision mondialiste où une France, historiquement caractérisée par une majorité caucasienne, choisit de se représenter par une artiste noire. Loin d'être une question de racisme, ce geste symbolise une volonté délibérée de réécrire l'histoire et l'identité culturelle du pays. Il reflète une stratégie visant à modifier la perception et l'essence même de ce qui constitue l'identité nationale française. Ce choix marque une rupture avec le patrimoine culturel et linguistique français, dont la complexité et l'élégance ont été célébrées par des écrivains comme Molière. Aya Nakamura, avec son style et ses paroles, rompt nettement avec cette tradition, et cela est particulièrement préoccupant compte tenu des millions de jeunes fans qui la suivent. Honnêtement, je doute que l'écoute de ses chansons contribue positivement à la construction de la culture de nos enfants.

 Elle incarne une image de femme éloignée des standards de féminité, allant jusqu'à dépeindre des relations conflictuelles avec les hommes. Sans le savoir, elle devient la marionnette d'un système qui la promeut car elle incarne parfaitement l'idéologie mondialiste. Ce n'est pas tant son talent qui est en question, mais plutôt la manière dont elle est propulsée par les réseaux mondialistes. Cela se reflète dans sa popularité mondiale : ses vidéos cumulent des milliards de vues, dépassant même des artistes reconnus comme Céline Dion, dont le plus grand tube en français atteint "seulement" 206 millions de vues.
Cette situation n'est pas un signe de normalité mais plutôt un indicateur de l'engourdissement général. Le succès d'Aya Nakamura, loin d'être le fruit du hasard, est le résultat d'une promotion stratégique par les puissants réseaux mondialistes. De la même manière, YouTube favorise certains youtubeurs au contenu léger, dans le but de maintenir les jeunes dans un état de passivité intellectuelle.
Cette parenthèse illustre la façon dont le divertissement est utilisé comme un outil pour remodeler les fondations culturelles et sociales, alignant subtilement le public sur une idéologie mondialiste qui s'éloigne des vraies valeurs humaines qu'on aurait pu espérer.

En résumé, les mondialistes, munis d'une compréhension pointue de la psychologie humaine, orchestrent une manipulation subtile de l'innocence des enfants. Ils déploient toute une arsenal de tactiques : L'infiltration d'idéologies dans l'éducation, le bombardement de messages complexes via des divertissements populaires : stars de la chanson, séries, cinéma et tout contenu pour enfants, en passant du livre aux dessins animés, le tout associé à l'exploitation des réseaux sociaux pour façonner les perceptions. Ces stratégies rendent les enfants vulnérables, les exposant à une multitude de dogmes et d'idéologies potentiellement dangereuses

Cette situation alarmante se manifeste dans les statistiques croissantes de la détresse mentale chez les jeunes, y compris une augmentation inquiétante des pensées suicidaires. Cela n'est pas le fruit du hasard, mais plutôt le résultat d'une accumulation de graines néfastes semées dans l'esprit des jeunes générations. Si nous ne nous réveillons pas rapidement, nous risquons de perdre toute une génération, submergée et désorientée par un flux incessant d'influences pernicieuses. Il est donc crucial de rester alerte et d'agir pour préserver et fortifier les fondations mentales et émotionnelles de nos enfants face à ces défis sans précédent.

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Aux États-Unis, il est aujourd'hui répertorié 1,6 million de personnes transgenres, ce qui est considérable !

Le phénomène des personnes s'identifiant comme transgenres prend de l'ampleur, notamment visible sur les réseaux sociaux où des hashtags relatifs à la transidentité sur TikTok figurent parmi les plus populaires. Cette tendance, très marquée aux États-Unis, commence à se répandre dans d'autres pays, avec l'Amérique souvent vue comme un précurseur dans ce domaine. En France, on estime actuellement entre 20 000 et 60 000 personnes transgenres, et il semble que ce nombre augmente, suivant une sorte d'effet boule de neige dans un monde où les jeunes sont en quête d'identité. Il est important pour les parents de comprendre cette dynamique et de reconnaître que si leur enfant explore cette voie, ils pourraient se retrouver dans une position où s'opposer n'est pas une option viable ou légalement permise. Aux États-Unis, des parents ont perdu la garde de leur enfant de 14 ans après s'être opposés à son désir de transition de genre. (SOURCE L'EXPRESS US) 

Chaîne avec plus de 2 millions d'abonnés et des vidéos atteignant 41 millions de vues. Le phénomène est immense et souvent inimaginable pour des parents non informés.

Et franchement, sans porter de jugement, j'ai de sérieux doutes sur le bonheur de ces personnes ayant pris des décisions aussi radicales mettant en danger leur corps, leur santé et leur identité. En regardant leurs vidéos, on décèle beaucoup de superficialité, de déguisements, de vulgarité, de surenchères et de masques, ce qui ne présage rien de bon au sujet de leur véritable Bonheur.

De plus, les contenus ne semblent pas apporter de richesse, de connaissance, de beauté ni de valeurs ! Ils ne contribuent guère à enrichir la pensée, à élargir les connaissances ou à transmettre des valeurs universelles, à l'exception de la promotion de leur propre idéologie. 

1) Introduire l'idéologie transgenre en invitant certains intervenants "déguisés et colorés", les DRAG QUEEN dans les écoles.

2) L'enfant, jeune et innocent, est alors incité à rechercher par lui-même et à se renseigner pour mieux comprendre cette bizarrerie (plus de 607 millions de recherches sur le sujet en 2023 sur TIKTOK). + l'association de cours d'éducation SEXUELLE, il(elle) pourra continuer ses recherches sur des sites PORNO, LE COMBO parfait pour la bonne évolution de cette graine :(  Et bien sûr, une énorme couche de PROPAGANDE sur tous leurs outils que tu connais : SHOW TV, HOLLYWOOD, DISNEY, NETFLIX et nos STARS DE LA MUSIQUE.

3)En fonction de ses expériences et de ses déceptions, l'idée pourrait germer dans son esprit, menant éventuellement à un point de non-retour. L'enfant se sentira rassuré en trouvant d'autres enfants perdus dans le même cas que lui(elle) sur les réseaux sociaux et comme la communauté grandit jour après jour et est déjà considérable, l'enfant pourra avancer sur des options impensables pour un enfant de son age. D'autant plus que la pornographie, lui montrant des images ne reflétant pas la réalité, l'aura poussé à complexer, forgeant malheureusement ce qui deviendra sa 'fausse croyance de ce qu'est la sexualité'. Se sentant complexé par son corps, le changement de genre pourrait sembler être sa seule alternative.

4) Contagion et propagation de cette nouvelle idéologie via les réseaux sociaux de façon exponentielle, détruisant ainsi les futurs soldats. Ces enfants, tellement préoccupés par leur identité liée à ce qu'ils ont entre les jambes, comment peuvent-ils être équilibrés et se battre pour améliorer notre futur?

Comprenez-vous la stratégie de l'élite ?

On a laissé nos gamins de 6ans se faire bâillonner à l'école et les faire s'empoisonner avec leur propre CO2 (sans parler des répercutions psychologiques), on ne va pas maintenant les laisser se faire couper leurs organes génitaux !

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Bien que cette idéologie puisse nous sembler étrange, nous n'avons effectivement aucun droit de remettre en question la volonté des personnes transgenres de changer de sexe. Si elles sont prêtes à entreprendre un changement aussi radical, incluant des opérations lourdes et irréversibles et le blocage de leurs hormones durant la transition avec des médicaments comme le « Lupron » - distribué par un laboratoire TAP Pharmaceuticals, ayant par le passé déboursé 875 millions de dollars en dommages et intérêts pour des pratiques illégales avec ce même LUPRON (Source : L'article ici ) - cela indique clairement une souffrance profonde. Cette souffrance nécessite notre soutien, notre empathie et nous devons nous montrer extrêmement compréhensifs envers les personnes souffrant de dysphorie de genre, car il s'agit probablement d'une souffrance immense pour elles. Heureusement, cette condition reste assez rare, touchant entre 1 personne sur 10 154 (pour les hommes) et 1 sur 27 668 (pour les femmes). Certes, même une seule personne qui souffre de dysphorie, c'est triste pour elle, mais néanmoins le pourcentage de personnes atteintes à grande échelle est faible.

Cependant, le véritable problème auquel nous sommes confrontés n'est pas ces personnes, mais plutôt l'idéologie promue par certains systèmes pour normaliser la transidentité. Pire encore, il semble y avoir une volonté de l'imposer par les plus hautes autorités. Un calcul simple révèle qu'aux États-Unis, où il y a aujourd'hui 1,6 million de personnes transgenres selon les études officielles (ARTICLE SOURCE ICI), soit 1 Américain sur 207 (un chiffre loin des 1 sur 10 154 ou 27 668 initialement mentionnés), une idéologie forte, soutenue par les autorités, semble avoir créé un écosystème où la proportion de personnes souffrant de dysphorie n'est plus de 1 sur 10 154 ou 27 668, mais plutôt de 1 sur 207, une augmentation considérable.

Cela indique que le nombre de personnes transgenres dépasse largement celui des personnes souffrant cliniquement de dysphorie. En affinant ces calculs, on pourrait avancer que parmi les 1,6 million de personnes transgenres (soit 800 000 hommes et 800 000 femmes pour simplifier), seuls 79 hommes et 29 femmes souffriraient réellement de dysphorie, une maladie clinique. Que dire alors des 799 921 hommes et des 799 971 femmes transgenres qui ne souffrent pas cliniquement de dysphorie de genre ?

Il semble fort probable que ces personnes subissent à la fois directement et indirectement les conséquences d'une idéologie subtilement imposée (par suggestion ou induction) par un système utilisant divers moyens tels qu'Hollywood, Netflix, voire les dessins animés, en plus de l'éducation sexuelle et des visites de drag queens dans les écoles. Lorsqu'un enfant est poussé à penser d'une certaine manière, et que son cerveau se forme autour de cette pensée, il devient extrêmement difficile de modifier ou de déconstruire ce type de pensée par la suite. Cette influence persistante peut entraîner une augmentation de la souffrance à mesure que l'enfant grandit, devenant adolescent puis jeune adulte.

De plus, il est important de noter que les personnes transgenres ayant subi une transition chirurgicale présentent un risque de suicide significativement plus élevé, environ 19 fois supérieur, comparé à leur risque avant l'opération où les envies suicidaires étaient plus modérées. Cette augmentation du risque est souvent observée entre 7 et 10 ans après l'opération, soulignant l'importance d'un soutien psychologique et social continu pour ces individus.

Le problème n'est pas les personnes transgenres, mais plutôt le système ayant créé un environnement propice à la souffrance de ces personnes. Ces dernières sont souvent amenées à envisager de lourdes chirurgies, avec un taux de complications élevé, estimé à 67%, pouvant entraîner des infections graves, voire mortelles. En outre, ces opérations étant encore à un stade expérimental, les patients ne disposent pas de recours légal en cas de complications. Ce marché est extrêmement lucratif, chaque transition transgenre pouvant rapporter environ 1,3 million de dollars à l'industrie pharmaceutique. Ceci inclut le coût des chirurgies (environ 70 000 dollars) et des traitements médicaux à vie, dont le coût annuel s'élève entre 34 000 et 43 000 dollars. Quel marché juteux !

En conséquence, des gens qui ne se seraient jamais posé la question de leur sexe le font maintenant parce qu'ils y sont incités. C'est un choix de facilité, alors que les défis spécifiques à chaque sexe devraient d'abord être confrontés. Le vrai problème réside dans l'idéologie imposée aux enfants dès l'âge de 5 ans, un moment où ils ne sont pas prêts à comprendre les implications d'une telle décision. En introduisant des drag queens dans les écoles, on plante une graine dans l'esprit des enfants, qui seront ensuite exposés à des expériences et à des situations qui les poussent à rechercher et à comprendre, souvent via les réseaux sociaux et les influenceurs qui ont déjà fait la transition. Cela crée un cercle vicieux où la graine initialement plantée germe et intensifie la souffrance au fur et à mesure que leur système neuronal solidifie l'idée. Sans la guidance et l'expérience des adultes, ces enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes pour comprendre des concepts complexes.

Nous devrions laisser les enfants grandir par eux-mêmes, sans les exposer à l'éducation sexuelle dès l'âge de 5 ans. Il est surprenant de noter que l'OMS préconise de parler de sexualité aux enfants entre 0 et 4 ans, cela est bien spécifié dans le document officiel de l'OMS dès l'âge de zéro an (document téléchargeable sur ce lien : TÉLÉCHARGEZ ICI LE PDF DE L'OMS). Cela me semble prématuré et inapproprié, compte tenu de leur niveau de développement et de compréhension. N'est-il pas un peu tôt pour parler de sexualité alors qu'ils ont un monde à découvrir ? Le sexe serait-il la chose la plus importante avant même la découverte du monde ? Il y a l'alphabet, les chiffres, les couleurs et tant d'autres choses à apprendre avant la sexualité.

Et pour les intervenants dans les écoles financés par nos impôts, à la place de drag queens, pourquoi ne pas plutôt introduire des menuisiers, des cuisiniers ou des agriculteurs pour enseigner des compétences pratiques et bénéfiques ? Ces activités favorisent non seulement le développement cognitif et physique des enfants, mais leur offrent également une compréhension concrète et appropriée du monde qui les entoure, à la différence d'une introduction précoce à des concepts complexes tels que la sexualité.

En conclusion, tout en admirant le courage des personnes transgenres qui vont jusqu'au bout de leur idée, ce qui est déjà une véritable preuve de bravoure, il est crucial de protéger les enfants de l'influence de toute idéologie dont ils sont trop jeunes pour comprendre les implications. N'oublions pas que les enfants sont les architectes de notre avenir. Si nous élevons une génération trop préoccupée par des questions d'identité de genre, risquons-nous de les distraire des défis plus larges et cruciaux auxquels ils seront confrontés en tant qu'adultes ? Il est essentiel de les préparer à aborder et à résoudre les problématiques mondiales complexes avec discernement et résilience.

Plutôt que de les encombrer de préoccupations précoces sur leur identité sexuelle, concentrons-nous sur l'inculcation de valeurs, de compétences et de connaissances qui les rendront aptes à construire un monde meilleur et plus harmonieux. Laisser la conduite de notre société et l'éducation de nos enfants entre les mains de politiciens peut s'avérer hasardeux. Notre monde, malgré ses injustices et inégalités, possède une beauté indéniable et un potentiel immense. Pour que ce monde prospère et s'épanouisse, il est essentiel d'offrir une guidance équilibrée et réfléchie, en particulier à nos enfants, les futurs gardiens de notre humanité.

Pourtant, l'idée de discuter de sexualité avec un enfant de 5 ans, voire dès la naissance comme le suggère l'OMS, couplée à la complexité de la théorie du genre, semble une fondation précaire pour leur développement. Ces concepts, qui demandent une vie entière pour être pleinement compris, pourraient ne pas constituer la base la plus solide pour équiper les enfants face aux défis futurs. Construire des fondations solides, c'est leur enseigner le respect, la curiosité intellectuelle et la capacité à faire face aux diverses situations de la vie, plus que de les précipiter dans la compréhension de sujets adultes comme la sexualité, qui nécessite des années d'expérience pour pouvoir être clairement comprise.